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J'ai tourné un court-métrage documentaire, SIDA, en 2006, au Burkina Faso, qui a ensuite été intégré à un long métrage. Cela m'a intéressé et touché: j'interviewais un malade qui allait mourir, qui croyait que le Sida était un châtiment divin, il s'est mis à parler comme si c'était un oeuvre testamentaire. J'avais aussi pensé à un documentaire sur le sexe: je voulais filmer mes amis en train de baiser. Ils ont commencé par accepter et puis finalement, au bout de quelques temps, ils ont tous refusé. Le rapport à la censure Je ne suis pas un provocateur. Est-ce qu'on dit que Fassbinder ou Pasolini sont des provocateurs? Mes films ressemblent à la vie. On fait des films en pensant aux livres qu'on a lus, aux films qu'on a vus et à sa propre vie. Ce qui est curieux c'est que Love est interdit en Turquie, où Irréversible avait cartonné, battant Amélie Poulain. Math se fait - Saw - YouTube. On a donc le droit de représenter la violence faite aux femmes, mais il sufft qu'un couple fasse l'amour pour que le monde, Etats-Unis compris, se mette en feu.

Mon premier souvenir de cinéma, c'est à la télé, j'avais trois ans, Jason et les Argonautes [de Don Chafffey, 1963, effets spéciaux de Ray Harryhausen]: le combats de squelettes est resté dans ma mémoire. Mes parents étaient cinéphiles, surtout ma mère. J'ai vu 2001, l'odyssée de l'espace [de Stanley Kubrick, 1968], j'avais six ans: je voulais le revoir en boucle, peut-être parce qu'il était hallucinogène, à un âge où ces substances-là sont interdites aux enfants. J'ai grandi à Buenos-Aires, le grand-père de mon meilleur ami était caissier de cinéma, il connaissait tous les caissiers de la ville, je pouvais voir tous les films gratuitement, même ceux interdits aux enfants. Je suis arrivé à Paris en 1977, j'avais treize ans: il y avait plein de salles de cinéma et à la télé on voyait encore à 20h30, sans autre censure qu'un carré blanc, des films comme Délivrance [de John Boorman, 1972]. Math se fait des films shazam film. Il y avait aussi les deux ciné-clubs du vendredi et du dimanche soir... Aujourd'hui la cinéphilie passe par le Net, moi je n'ai jamais téléchargé un film.